Arnaud Cardon, à son domicile. © Radio France – Elie Abergel
L’activité des thanatopracteurs, ces professionnels du soin mortuaire, a fortement baissé en 2020. Jusqu’à fin janvier 2021, les soins mortuaires des personnes décédées du coronavirus étaient interdits, une situation que dénonce Arnaud Cardon, thanatopracteur à Sainte-Agathe-la-Bouteresse.
Il dénonce aujourd’hui une situation ubuesque, alors que jusqu’au 21 janvier 2021, les thanatopracteurs n’avaient pas le droit d’apporter des soins funéraires aux victimes du coronavirus (depuis, le 21 janvier, il est possible d’apporter des soins pour les défunts dont les premiers symptômes du coronavirus remontent à minimum 10 jours avant le décès).