Le projet du crématorium

Cimetières saturés : en attendant le crématorium, il y a aussi les enfeus et le compostage

Les enfeus, ou niches funéraires. Ils prennent peu de place.  

Des cimetières saturés, comme à Mahina ou encore à Faa’a, où la crise du covid a rempli tout un plateau en un mois… Le projet du crématorium, 10 ans qu’il est évoqué sans qu’il n’y ait eu d’avancées concrètes. Alors comment pallier le manque de places dans les cimetières ?

Trois étages de plus en 30 ans à l’Uranie. Un aménagement nécessaire pour accueillir les nouvelles inhumations. Sur les 22 hectares du cimetière, 14 sont déjà occupés. Pour le responsable du lieu, il reste encore une vingtaine d’années avant d’arriver à saturation. Alors est-ce urgent de construire un crématorium ?

« Je pense qu’aujourd’hui c’est vraiment une nécessité, parce que la plupart des cimetières en Polynésie sont saturés. Et c’est pour faire aussi évoluer ensuite les mentalités. Si on le met en place aujourd’hui, je pense que dans 20 – 30 ans les gens seront peut être plus amenés à utiliser cette méthode », déclare Alexandre Bernière, responsable du cimetière de l’Uranie.

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