Compostage humain: les “funérailles vertes” gagnent du terrain aux États Unis

La fabrication, le transport d’un cercueil et d’une pierre tombale standard sont égales à l’empreinte carbone d’une voiture parcourant plus de 4000 km.  © JEFF PACHOUD / AFP/Archives

Aux États-Unis, les différents gouvernements régionaux soutiennent de plus en plus le compostage humain comme nouvelle option d’inhumation en fin de vie dans le cadre de la lutte contre le changement climatique.

La Californie, cinquième État à légaliser le compostage humain

Dimanche dernier, le gouverneur de l’État californien, Gavin Newsom, a signé un projet de loi qui vise à encadrer la « réduction organique naturelle », nom officiel de la transformation des restes humains en compost. La Californie devient donc le cinquième État à légaliser le compostage humain, après l’Oregon, Washington, le Colorado et le Vermont. Les partisans de cette pratique affirment qu’il s’agit non seulement d’une alternative plus respectueuse de l’environnement que les enterrements de cercueils et la crémation, mais aussi d’une manière plus économique de dire au revoir aux corps sans vie, tout à fait en ligne avec différentes pratiques traditionnelles de nombreuses cultures.

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