Malgré l’intérêt suscité par des funérailles plus écologiques, les pratiques évoluent lentement. En cause : le regard de la société et le conservatisme des pompes funèbres.
Manon Moncoq est anthropologue du funéraire et de l’environnement. Elle a répondu aux questions de Sciences et Avenir – Les Indispensables.
Sciences et Avenir – Les Indispensables : On pense les rites funéraires immuables. Est-ce vraiment le cas ?
Manon Moncoq : Nous sommes au contraire à la veille de grands bouleversements. La religion catholique a longtemps imposé l’inhumation comme seul moyen de traiter le corps des défunts…
Lire la suite sur Science et Avenir