Quinze mois après le décès de sa mère, il peut enfin se recueillir sur sa tombe

Thierry Herrgott devant la sépulture où reposent ses parents au cimetière d’Étupes. Enfin conforme à la commande. Photo ER /Françoise JEANPARIS

D’abord, il y a eu cette facturation du transport du corps depuis Maîche alors que la défunte est décédée à Étupes. Ensuite, les lettres posées sur le marbre dans un style abracadabrant. Surtout, quinze longs mois se sont écoulés entre l’inhumation et la pose d’une stèle. Le fils de la défunte se fâche.

« Vous êtes un peu une thérapie, car mettre en mots ces misères est un vrai soulagement… » Thierry Herrgott est ce qu’on appelle un taiseux. Économe dans ses paroles. Pas le genre à faire du foin médiatique à grand renfort d’effets de manches quand survient une déconvenue. Il encaisse sans trop broncher même si les chaussures de sécurité du jardinier à la commune d’Exincourt le chatouillent parfois au point d’avoir envie de botter des trains, « car je suis un faux calme.

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