Depuis 30 ans, Stradal Funéraire est spécialisé des équipements de cimetières, à destination des professionnels et collectivités, sans oublier d’être à l’écoute des particuliers. Et, en trois décennies, leur métier a évolué, l’expérience acquise profitant à une nouvelle demande, devenant ainsi un interlocuteur privilégié des mairies.
Le cimetière, un métier
Stradal Funéraire : ce nom n’est pas inconnu des professionnels, loin de là. Depuis trente ans, l’entreprise est reconnue sur la construction d’équipements pour cimetières, allant des cases en béton pour caveaux aux columbariums, il n’y a pas un besoin auquel la gamme ne répond pas. Et si il n’est pas surprenant de trouver ses représentants auprès des pompes funèbres et marbreries, c’est auprès des collectivités locales que leur métier a le plus évolué.
Il faut dire que la gestion de cimetière n’est plus la même. A une réglementation très précise et très stricte se sont ajoutées de nouvelles problématiques.
L’obligation, pour les communes de plus de 2000 habitants, de proposer des cases de columbarium, par exemple. Si cela semble logique, au vu de l’évolution des pratiques funéraires, bon nombre de conseils municipaux se sont posé la question de l’aménagement global, sans avoir forcément les moyens de faire appel à des architectes ou des paysagistes.
Patrice Monin, Directeur commercial funéraire de Stradal, souligne « fabriquer et poser des caveaux, columbariums et ossuaires est une partie importante de notre métier depuis le début. Depuis quelques années, nous nous trouvons face à une nouvelle demande : comment le faire ? Ces années d’expérience sur le terrain nous ont appris un savoir-faire dont nous pouvons faire bénéficier les mairies. La question n’est plus de simplement poser un columbarium, mais de déterminer l’endroit où le jardin cinéraire peut être installé, sa disposition et son environnement pour à la fois favoriser le recueillement des familles et aider le travail des pompes funèbres. Ces réponses, nous en avons une vision claire grâce aux nombreux chantiers que nous avons menés à bien depuis ces années ».
Le funéraire de demain
Les columbariums ne sont pas la seule activité de Stradal Funéraire, l’inhumation a encore de beaux jours devant elle. Aménagement de nouveaux cimetières, extension d’anciens, la tâche est vaste. D’autant que l’exode rural semble être terminé, voire même inversé : de nombreux citadins reviennent s’installer dans de plus petites communes, durant leur activité ou après leur retraite. Autant de résidents qui, un jour, auront besoin d’une dernière demeure.
« Là encore, l’expérience est un plus » souligne Patrice Monin. « Par exemple, lorsqu’on nous consulte pour la construction d’un ossuaire, il y a un conseil à apporter sur son volume. Inutile d’investir dans quelque chose de sur-proportionné, mais attention aussi à ne pas le sous-dimensionner, le rendant caduque au bout de quelques années seulement ».
Cependant, Stradal insiste : ce n’est pas une société de conseil, c’est un plus. « Nous ne sommes pas là pour remplacer les architectes ou les paysagistes qui sont chargés de réaliser les espaces funéraires. Mais nous avons les compétences pour répondre à leurs questions techniques. Par exemple, l’accès aux caveaux, pour composer un ensemble à la fois harmonieux, mais aussi accessible aux pompes funèbres lors de l’inhumation ».
Et au-delà « notre gamme est complète et très étendue, et il y a une raison à cela. Afin de répondre à toutes les demandes, il y a aussi, notamment pour les caveaux, la possibilité de pouvoir s’adapter à la nature du sol ».
C’est sans doute ce qui explique la longévité et la réputation de rigueur de Stradal Funéraire : savoir proposer la solution adéquate aux exigences du terrain.
Guillaume Bailly