A-t-on le droit de rester écolo jusque dans sa dernière demeure ?

En France, depuis 2008, l’inhumation des urnes en pleine terre répond à une réglementation stricte. — Imagesines

Alors que la question de l’écologie se pose de plus en plus pour les funérailles, notamment avec l’arrivée de nouvelles technologies, une conférence a lieu au Muséum sur ce que l’on a le droit de faire ou pas.

Entre urnes biodégradables, cercueil en carton et compostage humain, la question de l’écologie dans les funérailles se pose de plus en plus.
En France, les nouvelles formes de sépultures qui se développent à l’étranger ne sont pas encore à l’ordre du jour pour des raisons de droit mais pas uniquement.
Ce jeudi, une conférence sur l’essor des funérailles vertes a lieu au Muséum de Toulouse dans le cadre de son exposition sur les momies.
Humusation, cryomation, résomation. Ces termes ne vous disent rien ? Pourtant, ces nouveaux concepts de sépultures font partie des pistes plébiscitées par certains pour des funérailles un peu plus vertes. Elles sont même déjà autorisées dans certains pays ou ont été soumises à l’étude d’un comité bioéthique, comme chez nos voisins belges.

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